Cette année, Les Escapades changent de dates et aussi de format ! Une ouverture sur de nouvelles frontières et de nouveaux horizons avec plein de belles découvertes musicales en perspective. Rendez-vous pour deux jours de concerts gratuits, en plein air, avec, en ouverture, « l’apéro des minots ». Et sur place, des nouveautés côté restauration. C’est sûr, il y en aura pour tous les goûts !
VENDREDI 14 JUIN – N° 1
WILKO & NDY (France)
hip-hop, électro [trois sur scène]
Wilko & Ndy explorent les terrains vierges du hip-hop électro marseillais, aux antipodes des images bling-bling et des clichés. Les titres de leur EP Trou noir sont une succession d’instantanés, entêtants, nourris de basses vibrantes et de rythmes massifs, au croisement du rap, de la pop et de l’électro.
Ces morceaux témoignent de la richesse de leur travail, sur fond de beats entraînants, de refrain pop et de textes sensibles teintés d’ironie.
Sur scène, accompagnés par Loris aux machines, les deux frères électrisent leur public comme ils l’ont prouvé lors de premières parties bouillantes (Lomepal, L’Or du Commun, Vald…) ou lors de shows à Marsatac et au Printemps de Bourges (comme finalistes Les Inouïs PACA 2018).
VENDREDI 14 JUIN – N° 1
WILKO & NDY (France)
hip-hop, électro [trois sur scène]
Wilko & Ndy explorent les terrains vierges du hip-hop électro marseillais, aux antipodes des images bling-bling et des clichés. Les titres de leur EP Trou noir sont une succession d’instantanés, entêtants, nourris de basses vibrantes et de rythmes massifs, au croisement du rap, de la pop et de l’électro.
Ces morceaux témoignent de la richesse de leur travail, sur fond de beats entraînants, de refrain pop et de textes sensibles teintés d’ironie.
Sur scène, accompagnés par Loris aux machines, les deux frères électrisent leur public comme ils l’ont prouvé lors de premières parties bouillantes (Lomepal, L’Or du Commun, Vald…) ou lors de shows à Marsatac et au Printemps de Bourges (comme finalistes Les Inouïs PACA 2018).
VENDREDI 14 JUIN – No 2
DJAZIA SATOUR (France-Algérie)
pop algérienne [quatre sur scène]
Née en Algérie, Djazia Satour puise dans les racines musicales de sa terre natale et mélange le chaâbi de l’Alger des années cinquante, les rythmes ancestraux des bendirs, les mélodies raffinées du banjo et de la mandole avec les basses et les claviers analogiques d’une pop chaude et savoureuse. Ses mélodies chantées en arabe d’une voix puissante, tels des hymnes, sonnent comme un appel irrésistible vers un autre monde.
Après avoir fait les premières parties d’Arthur H et Ibrahim Maalouf, Djazia Satour prend de l’altitude et se libère pour chanter les errances de l’exil et de l’amour dans un soul rafraîchissant. Un folksong inspiré !
VENDREDI 14 JUIN – N° 3
ALTIN GÜN (Pays-Bas–Turquie)
inclassable [six sur scène]
Véritable révélation des Trans musicales de Rennes 2017, Altin Gün (« âge d’or ») est en pleine tournée internationale. Le groupe rend hommage à la bouillonnante scène d’Istanbul qui, dans les années soixante-dix, fusionnait la vague psyché occidentale et les musiques traditionnelles de Turquie. Leur musique pourrait sembler kitsch, elle se révèle au contraire d’un exotisme jubilatoire. Le bassiste hollandais, Jasper Verhulst, et sa bande reprennent à la lettre les textes des cadors du rock turc, tout en insufflant à leurs reprises des harmonies et une énergie empruntées à la pop d’aujourd’hui. Un groove à réveiller les morts !
DJAZIA SATOUR (France-Algérie)
pop algérienne [quatre sur scène]
Née en Algérie, Djazia Satour puise dans les racines musicales de sa terre natale et mélange le chaâbi de l’Alger des années cinquante, les rythmes ancestraux des bendirs, les mélodies raffinées du banjo et de la mandole avec les basses et les claviers analogiques d’une pop chaude et savoureuse. Ses mélodies chantées en arabe d’une voix puissante, tels des hymnes, sonnent comme un appel irrésistible vers un autre monde.
Après avoir fait les premières parties d’Arthur H et Ibrahim Maalouf, Djazia Satour prend de l’altitude et se libère pour chanter les errances de l’exil et de l’amour dans un soul rafraîchissant. Un folksong inspiré !
VENDREDI 14 JUIN – N° 3
ALTIN GÜN (Pays-Bas–Turquie)
inclassable [six sur scène]
Véritable révélation des Trans musicales de Rennes 2017, Altin Gün (« âge d’or ») est en pleine tournée internationale. Le groupe rend hommage à la bouillonnante scène d’Istanbul qui, dans les années soixante-dix, fusionnait la vague psyché occidentale et les musiques traditionnelles de Turquie. Leur musique pourrait sembler kitsch, elle se révèle au contraire d’un exotisme jubilatoire. Le bassiste hollandais, Jasper Verhulst, et sa bande reprennent à la lettre les textes des cadors du rock turc, tout en insufflant à leurs reprises des harmonies et une énergie empruntées à la pop d’aujourd’hui. Un groove à réveiller les morts !
SAMEDI 15 JUIN – N° 1
HIPUS-VS-HOPUS (France)
Collectif Rhythm and Poetry + Hydra Trio Opus Neo – Olivier Maurel
hip-hop, jazz [huit sur scène]
À l’origine de ce projet, une rencontre entre trois musiciens professionnels et cinq artistes amateurs issus du hip-hop pour leur faire partager le processus d’une création.
Les musiciens embarqués dans cette aventure croisent la culture hip-hop, le jazz et plus largement les musiques actuelles. Le résultat est hybride : musiciens, musique assistée par ordinateur et matériel électronique détourné en instrument (téléphones, tablettes, boîtes à rythmes…). Après plusieurs résidences à la maison des jeunes et de la culture de Manosque et au théâtre Durance, venez découvrir la création en direct !
SAMEDI 15 JUIN – N° 2
KEPA (France)
blues [un sur scène]
Vingt-huit ans, trois ans de blues, des centaines de concerts et déjà deux Olympia en première partie ! Kepa va vite, très vite : son premier album, Doctor, Do Something, sort en mai 2018, Les Inrocks en parlent déjà comme d’une révélation…
Pourtant, rien ne prédestinait ce skateur professionnel à monter sur scène. Kepa est seul en scène, mais propulse son auditoire sur les bords du Mississippi, entre blues rural et rock’n’roll minimaliste. Avec sa guitare acoustique en acier, son harmonica, ses chansons hors normes, il est là pour s’amuser et embarquer le public.
Actus
Après une grosse tournée en février 2018 dans le cadre du festival Les Nuits de L’Alligator, une superbe date au Printemps de Bourges et une tournée internationale (Festival international de jazz de Montréal, Festival d’Été de Québec, Biarritz en Été, Festival Jazz à Liège, Cosmo Jazz, Les Internationales de la guitare de Montpellier, festival Les Z'Eclectiques à Cholet, Le Chaînon manquant à Laval…) Kepa revient en France en 2019 pour défendre son album sur les routes !
Voix, guitare, harmonica, beatbox, percussions : Bastien Duverdier ; crédit photo : Kevin Metallier
HIPUS-VS-HOPUS (France)
Collectif Rhythm and Poetry + Hydra Trio Opus Neo – Olivier Maurel
hip-hop, jazz [huit sur scène]
À l’origine de ce projet, une rencontre entre trois musiciens professionnels et cinq artistes amateurs issus du hip-hop pour leur faire partager le processus d’une création.
Les musiciens embarqués dans cette aventure croisent la culture hip-hop, le jazz et plus largement les musiques actuelles. Le résultat est hybride : musiciens, musique assistée par ordinateur et matériel électronique détourné en instrument (téléphones, tablettes, boîtes à rythmes…). Après plusieurs résidences à la maison des jeunes et de la culture de Manosque et au théâtre Durance, venez découvrir la création en direct !
SAMEDI 15 JUIN – N° 2
KEPA (France)
blues [un sur scène]
Vingt-huit ans, trois ans de blues, des centaines de concerts et déjà deux Olympia en première partie ! Kepa va vite, très vite : son premier album, Doctor, Do Something, sort en mai 2018, Les Inrocks en parlent déjà comme d’une révélation…
Pourtant, rien ne prédestinait ce skateur professionnel à monter sur scène. Kepa est seul en scène, mais propulse son auditoire sur les bords du Mississippi, entre blues rural et rock’n’roll minimaliste. Avec sa guitare acoustique en acier, son harmonica, ses chansons hors normes, il est là pour s’amuser et embarquer le public.
Actus
Après une grosse tournée en février 2018 dans le cadre du festival Les Nuits de L’Alligator, une superbe date au Printemps de Bourges et une tournée internationale (Festival international de jazz de Montréal, Festival d’Été de Québec, Biarritz en Été, Festival Jazz à Liège, Cosmo Jazz, Les Internationales de la guitare de Montpellier, festival Les Z'Eclectiques à Cholet, Le Chaînon manquant à Laval…) Kepa revient en France en 2019 pour défendre son album sur les routes !
Voix, guitare, harmonica, beatbox, percussions : Bastien Duverdier ; crédit photo : Kevin Metallier
SAMEDI 15 JUIN – N° 3
TRANS KABAR (France)
maloya, rock [quatre sur scène]
Trans Kabar propose une version électrique du maloya, musique traditionnelle de la Réunion, et s’inspire du « servis kabaré », rituel festif presque oublié des esclaves en hommage aux ancêtres.
Aux manettes du groupe, on trouve Stéphane et Jidé Hoareau (neveu de Danyèl Waro, star du maloya). Leur musique débridée, nerveuse, brûlante, venue du fond des tripes et du cœur, est prête à engloutir dans une transe contagieuse les amateurs de rock.
Tout le monde fait les chœurs, pour éprouver physiquement la musique, ne jamais trop s’éloigner des fondamentaux de toutes les musiques magiques : le rythme et le chant. Trans Kabar nous embarque vers une Réunion urbaine inédite.
SAMEDI 15 JUIN – N° 4
SOFIANE SAIDI & MAZALDA (Algérie-France)
raï électrique [huit sur scène]
Le chant de Sofiane Saidi vient des profondeurs du chant oriental. Ce qui l’intéresse, c’est le cœur des humains et la magie de l’âme algérienne. Une alchimie d’émotions, de timbre, et de groove, qu’il a apprivoisé lors de diverses collaborations (Acid Arab, Bojan Z, Natacha Atlas...).
Mazalda, sept musiciens lyonnais, des fous de musique et de raï, de chaâbi égyptien, de funk et d’électro, avec une grosse section rythmique, des cuivres, des synthés psychés. Un groupe qui voyage dans le monde et dans le temps pour offrir à la musique algérienne des trésors de groove et de trip.
Infos pratiques • Concerts gratuits
À partir de 18 heures • buvette et restauration sur place • accès aux personnes à mobilité réduite • parkings à proximité
Les Lauzières – Château-Arnoux-Saint-Auban 04 92 64 27 34
www.theatredurance.fr
TRANS KABAR (France)
maloya, rock [quatre sur scène]
Trans Kabar propose une version électrique du maloya, musique traditionnelle de la Réunion, et s’inspire du « servis kabaré », rituel festif presque oublié des esclaves en hommage aux ancêtres.
Aux manettes du groupe, on trouve Stéphane et Jidé Hoareau (neveu de Danyèl Waro, star du maloya). Leur musique débridée, nerveuse, brûlante, venue du fond des tripes et du cœur, est prête à engloutir dans une transe contagieuse les amateurs de rock.
Tout le monde fait les chœurs, pour éprouver physiquement la musique, ne jamais trop s’éloigner des fondamentaux de toutes les musiques magiques : le rythme et le chant. Trans Kabar nous embarque vers une Réunion urbaine inédite.
SAMEDI 15 JUIN – N° 4
SOFIANE SAIDI & MAZALDA (Algérie-France)
raï électrique [huit sur scène]
Le chant de Sofiane Saidi vient des profondeurs du chant oriental. Ce qui l’intéresse, c’est le cœur des humains et la magie de l’âme algérienne. Une alchimie d’émotions, de timbre, et de groove, qu’il a apprivoisé lors de diverses collaborations (Acid Arab, Bojan Z, Natacha Atlas...).
Mazalda, sept musiciens lyonnais, des fous de musique et de raï, de chaâbi égyptien, de funk et d’électro, avec une grosse section rythmique, des cuivres, des synthés psychés. Un groupe qui voyage dans le monde et dans le temps pour offrir à la musique algérienne des trésors de groove et de trip.
Infos pratiques • Concerts gratuits
À partir de 18 heures • buvette et restauration sur place • accès aux personnes à mobilité réduite • parkings à proximité
Les Lauzières – Château-Arnoux-Saint-Auban 04 92 64 27 34
www.theatredurance.fr