Un petit bout de femme qui joue à gravir des collines en réalisant la meilleure performance, tout en prenant un maximum de plaisirs ! Voilà la passion qui anime Marion Demandolx depuis maintenant cinq ans. Cinq années durant lesquelles elle n’a eu de cesse de s’adonner aux joies du trail, parcourant les paysages et communiant avec la nature. Issu d’une famille de sportifs, ce sont ses parents qui lui ont transmis le goût de la montagne. Marion aime particulièrement les conditions climatiques rudes, aime courir avec la frontale en plein hiver ou encore découvrir les paysages enneigés du département.
Rien ne prédisposait cette passionnée de danse à choisir le trail avec tous les sacrifices que cela comporte. Pourtant, poussée par des amis et surtout Michel Arnoux, qui l’entraîne depuis, elle va découvrir le trail. Au départ pour le plaisir dans les collines des villages environnants. Elle constate qu’elle préfère les longues distances, l’endurance, ce qui lui permet aussi de prendre le temps pour admirer les paysages. Marion rejoint donc le groupe de passionnés, que vous pouvez souvent voir sur les courses pédestres et trails de la région : l’Ekipanou !
Avec ce groupe d’amis, elle réalise son premier trail à Roquefort-la-Bédoule, puis, bien entendu, la foulée de Noël d’Oraison, sa ville natale ; puis arrivent le trail du Ventoux et le Snow Trail de l’Ubaye, une expérience qui l’a fortifiée mentalement. Suivront ensuite l’Ardéchoise et son premier marathon, à Lure en 2014, où elle terminera première féminine. « Je tiens d’ailleurs à remercier Léonie qui me sponsorise avec Endurance Shop, mais qui m’a apporté beaucoup de conseils, et également Vincent Guiliani, qui m’ont énormément apporté. » Puis les courses s’enchaînent, trail des Mélèzes, de nouveau le trail du Ventoux et le trail des Collines de Giono, à Manosque, où elle termine troisième féminine sur le 26 kilomètres.
Rien ne prédisposait cette passionnée de danse à choisir le trail avec tous les sacrifices que cela comporte. Pourtant, poussée par des amis et surtout Michel Arnoux, qui l’entraîne depuis, elle va découvrir le trail. Au départ pour le plaisir dans les collines des villages environnants. Elle constate qu’elle préfère les longues distances, l’endurance, ce qui lui permet aussi de prendre le temps pour admirer les paysages. Marion rejoint donc le groupe de passionnés, que vous pouvez souvent voir sur les courses pédestres et trails de la région : l’Ekipanou !
Avec ce groupe d’amis, elle réalise son premier trail à Roquefort-la-Bédoule, puis, bien entendu, la foulée de Noël d’Oraison, sa ville natale ; puis arrivent le trail du Ventoux et le Snow Trail de l’Ubaye, une expérience qui l’a fortifiée mentalement. Suivront ensuite l’Ardéchoise et son premier marathon, à Lure en 2014, où elle terminera première féminine. « Je tiens d’ailleurs à remercier Léonie qui me sponsorise avec Endurance Shop, mais qui m’a apporté beaucoup de conseils, et également Vincent Guiliani, qui m’ont énormément apporté. » Puis les courses s’enchaînent, trail des Mélèzes, de nouveau le trail du Ventoux et le trail des Collines de Giono, à Manosque, où elle termine troisième féminine sur le 26 kilomètres.
Plus qu’un coach, un ami
Des courses qui lui ont donné confiance et qui lui ont fait découvrir des capacités, surtout en côte, que ce soit en marche rapide ou en course, car il faut savoir que, vu l’importance des dénivelés, la marche est prédominante dans les côtes. Mais au-delà de ça, c’est Michel, son coach, qui l’a beaucoup aidée dans ses entraînements, mais aussi à comprendre son corps, qui l’a poussée et qui lui a permis de monter sur des podiums. Cet ancien marathonien partage son expérience avec les membres de l’équipe. Un sport qui demande beaucoup d’entraînement, en moyenne six heures par semaine, et un équilibre alimentaire. « En trail, tu te retrouves seul face à toi-même, il est donc important de bien connaître et écouter son corps. Ce que j’aime aussi dans cette discipline, c’est la découverte des paysages, l’entraide entre participants, le plaisir de voir les encouragements, les rires, les larmes à l’arrivée », nous confie Marion.
Le marathon du Mont-Blanc
Un nouveau challenge se présente à Marion et à ses coéquipiers. Sur l’idée un peu folle d’une copine d’entraînement, les voici partis à trois sur ce défi de taille : participer au marathon du Mont-Blanc. Une préparation de deux mois, avec des entraînements spécifiques, une alimentation adaptée. Les voici donc, le jour J, plus de cinq mille participants et deux mille inscrits au marathon. Des conditions climatiques idéales… Marion, Mathilde et Christophe prennent le départ à 7 heures du matin. Malgré le stress en raison de la durée et des difficultés à venir, Marion réalise une très belle 17e place de sa catégorie, 7e Française, en 6 h 16. Elle termine 389e au général sur 2 000 participants, un bel exploit ! « Je me souviendrai de cette chaleur en arrivant au téléphérique, mais poussée par le public, mes amis, ma famille, on se croirait sur le Tour de France, permettant ainsi de se surpasser et de repousser les limites. »
Des courses qui lui ont donné confiance et qui lui ont fait découvrir des capacités, surtout en côte, que ce soit en marche rapide ou en course, car il faut savoir que, vu l’importance des dénivelés, la marche est prédominante dans les côtes. Mais au-delà de ça, c’est Michel, son coach, qui l’a beaucoup aidée dans ses entraînements, mais aussi à comprendre son corps, qui l’a poussée et qui lui a permis de monter sur des podiums. Cet ancien marathonien partage son expérience avec les membres de l’équipe. Un sport qui demande beaucoup d’entraînement, en moyenne six heures par semaine, et un équilibre alimentaire. « En trail, tu te retrouves seul face à toi-même, il est donc important de bien connaître et écouter son corps. Ce que j’aime aussi dans cette discipline, c’est la découverte des paysages, l’entraide entre participants, le plaisir de voir les encouragements, les rires, les larmes à l’arrivée », nous confie Marion.
Le marathon du Mont-Blanc
Un nouveau challenge se présente à Marion et à ses coéquipiers. Sur l’idée un peu folle d’une copine d’entraînement, les voici partis à trois sur ce défi de taille : participer au marathon du Mont-Blanc. Une préparation de deux mois, avec des entraînements spécifiques, une alimentation adaptée. Les voici donc, le jour J, plus de cinq mille participants et deux mille inscrits au marathon. Des conditions climatiques idéales… Marion, Mathilde et Christophe prennent le départ à 7 heures du matin. Malgré le stress en raison de la durée et des difficultés à venir, Marion réalise une très belle 17e place de sa catégorie, 7e Française, en 6 h 16. Elle termine 389e au général sur 2 000 participants, un bel exploit ! « Je me souviendrai de cette chaleur en arrivant au téléphérique, mais poussée par le public, mes amis, ma famille, on se croirait sur le Tour de France, permettant ainsi de se surpasser et de repousser les limites. »
L’Ekipanou
Tout de rouge vêtus, les membres de l’équipe se font souvent remarquer dans les courses de la région. Animés par la même passion, ils ont plaisir à se retrouver et à partager ces moments d’amitié et de sport. L’équipe est composée de personnes de tous âges, hommes et femmes, elle existe depuis une dizaine d’années et compte une vingtaine de membres, chacun ayant des objectifs et des préférences de parcours ou de type de course. Prochainement, certains membres participeront au marathon du Cousson à Digne-les-Bains, et pour treize d’entre eux, les dossards ont déjà été pris pour le marathon de Paris.
L’avenir pour Marion
Pour Marion, le trail fut une échappatoire, une façon d’extérioriser. Désormais elle se fixe moins d’objectifs importants, avec comme souhait de reprendre du plaisir à vivre et à sortir, tout en continuant d’exercer sa passion comme elle l’entend, et, pourquoi pas, revenir à ses premières amours : la danse, qu’elle avait mise de côté faute de temps.
Tout de rouge vêtus, les membres de l’équipe se font souvent remarquer dans les courses de la région. Animés par la même passion, ils ont plaisir à se retrouver et à partager ces moments d’amitié et de sport. L’équipe est composée de personnes de tous âges, hommes et femmes, elle existe depuis une dizaine d’années et compte une vingtaine de membres, chacun ayant des objectifs et des préférences de parcours ou de type de course. Prochainement, certains membres participeront au marathon du Cousson à Digne-les-Bains, et pour treize d’entre eux, les dossards ont déjà été pris pour le marathon de Paris.
L’avenir pour Marion
Pour Marion, le trail fut une échappatoire, une façon d’extérioriser. Désormais elle se fixe moins d’objectifs importants, avec comme souhait de reprendre du plaisir à vivre et à sortir, tout en continuant d’exercer sa passion comme elle l’entend, et, pourquoi pas, revenir à ses premières amours : la danse, qu’elle avait mise de côté faute de temps.
