Mouv’in :« Bonjour Ninon, peux tu nous parler de ta discipline et pourquoi l’as-tu choisie ?
Ninon : Bonjour, je fais du judo depuis mes 4 ans. J’adore mon sport. Il nécessite un travail physique intensif mais aussi mental. Il apporte des valeurs fortes qui ne sont valables pas seulement sur le tatami : c’est une véritable école de la vie. On travaille dur, on tombe, on se relève puis on travaille encore plus dur pour ne plus tomber. J’adore ce défi permanent qu’offre le judo. Un défi continuel car même si on est le meilleur, pour le rester, il faut travailler encore, et toujours. Derrière ces quelques minutes de combat se cache un véritable travail permanent.
Mouv’in : Quel est ton parcours, de tes débuts jusqu’à aujourd’hui ?
Ninon : J’ai commencé le judo à 4 ans et jusqu’à il y a deux ans, le judo n’était pas encore une passion pour moi. J’aimais tout de même beaucoup le sport en général. Puis je me suis entraînée de plus en plus à Manosque où le judo est devenu plus qu’une passion pour moi. Je me suis donc entraînée de plus en plus et de plus en plus loin…
Mouv’in : Quels judokas et sportifs t’ont inspirés ?
Ninon : Uta Abe m’inspire beaucoup. C’est une judokate japonaise dotée d’un talent exceptionnel. Cette force et cette précision que l’on peut observer chez les japonais est admirable. J’aime également beaucoup David Larose, sa souplesse et son agilité.
Mouv’in : Combien de temps consacres-tu au judo et au sport en général dans la semaine et où t’entraînes tu ?
Ninon : Je pratique le judo le lundi à Aix-en-Provence au club de l’AUC, le mercredi au pôle espoir de Marseille, le vendredi à mon club de Riez et le samedi à Manosque. Au total, je fais 9h de judo par semaine. Je fais également beaucoup de préparation physique tous les autres jours où je ne vais pas au judo. Je fais de la course à pied, beaucoup de cardio mais aussi du renforcement musculaire.
Mouv’in : Comment t’organises-tu pour tes études ?
Ninon : Je suis à l’internat à Aix-en-Provence où il m’est facile de pouvoir faire mes devoirs grâce à l’heure quotidienne d’étude obligatoire le soir avant mes entraînements.
Mouv’in : Tu as réalisé un sans faute aux Championnats de France, comment arrives tu à gérer ton stress et à rester concentrée.
Ninon : Les compétitions sont en effet très stressantes, surtout les championnats importants. D’abord, l’échauffement me permet de me mettre en condition, me mettre « dans l’ambiance ». Le premier combat est pour moi le plus stressant et lorsqu’il est passé, je suis rassurée.
Mouv’in : A ton avis, quelles qualités doit avoir un bon judoka ?
Ninon : Pour moi, un bon judoka est quelqu’un avec une volonté infaillible qui se donne les moyens de réussir. Le talent est pour moi néanmoins un facteur indéniable pour les judokas du plus haut niveau comme Teddy Riner ou Clarisse Abgegnenou.
Mouv’in : Maintenant que tu es la meilleure judoka de France dans ta catégorie, quelles sont tes projets et ambitions pour le futur ?
Ninon : L’année prochaine je serai cadette 1ère année, une année compliquée où mes performances ne seront peut-être pas au niveau de cette année de minime. Mais je compte tout faire pour aller le plus haut possible et me démarquer même en cette première année de cadette.»
Mouv’in : Merci Ninon, nous te souhaitons pour la prochaine saison encore beaucoup de
réussite...
Ninon : Bonjour, je fais du judo depuis mes 4 ans. J’adore mon sport. Il nécessite un travail physique intensif mais aussi mental. Il apporte des valeurs fortes qui ne sont valables pas seulement sur le tatami : c’est une véritable école de la vie. On travaille dur, on tombe, on se relève puis on travaille encore plus dur pour ne plus tomber. J’adore ce défi permanent qu’offre le judo. Un défi continuel car même si on est le meilleur, pour le rester, il faut travailler encore, et toujours. Derrière ces quelques minutes de combat se cache un véritable travail permanent.
Mouv’in : Quel est ton parcours, de tes débuts jusqu’à aujourd’hui ?
Ninon : J’ai commencé le judo à 4 ans et jusqu’à il y a deux ans, le judo n’était pas encore une passion pour moi. J’aimais tout de même beaucoup le sport en général. Puis je me suis entraînée de plus en plus à Manosque où le judo est devenu plus qu’une passion pour moi. Je me suis donc entraînée de plus en plus et de plus en plus loin…
Mouv’in : Quels judokas et sportifs t’ont inspirés ?
Ninon : Uta Abe m’inspire beaucoup. C’est une judokate japonaise dotée d’un talent exceptionnel. Cette force et cette précision que l’on peut observer chez les japonais est admirable. J’aime également beaucoup David Larose, sa souplesse et son agilité.
Mouv’in : Combien de temps consacres-tu au judo et au sport en général dans la semaine et où t’entraînes tu ?
Ninon : Je pratique le judo le lundi à Aix-en-Provence au club de l’AUC, le mercredi au pôle espoir de Marseille, le vendredi à mon club de Riez et le samedi à Manosque. Au total, je fais 9h de judo par semaine. Je fais également beaucoup de préparation physique tous les autres jours où je ne vais pas au judo. Je fais de la course à pied, beaucoup de cardio mais aussi du renforcement musculaire.
Le judo apporte des valeurs fortes qui ne sont valables pas seulement sur le tatami : c’est une véritable école de la vie !
Mouv’in : Comment t’organises-tu pour tes études ?
Ninon : Je suis à l’internat à Aix-en-Provence où il m’est facile de pouvoir faire mes devoirs grâce à l’heure quotidienne d’étude obligatoire le soir avant mes entraînements.
Mouv’in : Tu as réalisé un sans faute aux Championnats de France, comment arrives tu à gérer ton stress et à rester concentrée.
Ninon : Les compétitions sont en effet très stressantes, surtout les championnats importants. D’abord, l’échauffement me permet de me mettre en condition, me mettre « dans l’ambiance ». Le premier combat est pour moi le plus stressant et lorsqu’il est passé, je suis rassurée.
Mouv’in : A ton avis, quelles qualités doit avoir un bon judoka ?
Ninon : Pour moi, un bon judoka est quelqu’un avec une volonté infaillible qui se donne les moyens de réussir. Le talent est pour moi néanmoins un facteur indéniable pour les judokas du plus haut niveau comme Teddy Riner ou Clarisse Abgegnenou.
Mouv’in : Maintenant que tu es la meilleure judoka de France dans ta catégorie, quelles sont tes projets et ambitions pour le futur ?
Ninon : L’année prochaine je serai cadette 1ère année, une année compliquée où mes performances ne seront peut-être pas au niveau de cette année de minime. Mais je compte tout faire pour aller le plus haut possible et me démarquer même en cette première année de cadette.»
Mouv’in : Merci Ninon, nous te souhaitons pour la prochaine saison encore beaucoup de
réussite...
