- Conseil numéro 1 : passer sa visite médicale.
- Avant toute chose, ça reste le passage obligéau moins une fois par an. Faire un électrocardiogramme aussi, même s’il ne sera pas forcément parlant puisque réaliséau repos. En revanche, suivant sa pratique, sonâge, ses antécédents, un test àl’effort peut être opportun.
- Conseil numéro 2 : Respecter les fondamentaux.
- Respecter les différentes phases de l’activitésportive (échauffement, récupération,étirements…).
- Rester vigilant par rapport aux grosses chaleurs surtout après le déjeuner.
- Garder toujours àl’esprit la notion de progressivitéque ce soit dans le rythme ou la distance.
- Plus que jamais, l’hydratation doit rester une priorité. Un manque d’eau occasionnera une baisse de vos performances et augmentera le risque de blessures musculaires.
- Être bien équipénotamment en ce qui concerne les chaussures, ou le cuissard pour le vélo.
- Conseil numéro 3 : Ne pas chercher à comparer ses performances actuelles avec celles post-coupure.
- C’est sans nul doute, l’erreur la plus tentante àcommettre, surtout aujourd’hui oùnous sommes nombreux àdisposer de montres cardiofréquencemètres, de montres connectées, de compteurs vélo…Autant d’accessoires indiquant une vitesse moyenne inférieure ou des chronos supérieurs qui ne pourraient être qu’une source de démotivation.
- Conseil numéro 4 : Profiter de cette reprise pour trouver de nouveaux parcours.
- Si les Alpes-de-Haute-Provence présentent une grande force, c’est bien dans sa diversiténaturelle des paysages et reliefs. Ainsi, afin d’éviter de vouloir comparer ses performances trop tôt, profiter de cette reprise pour trouver de nouveaux parcours sous réserve de faire attention au conseil suivant.
- Conseil numéro 5 : Bien choisir son parcours.
Si le territoire bas-alpin est magnifique par sa richesse et sa diversité, il n’en reste pas moins très piégeux. Partir en totale aventure, c’est risquer de faire face àdes ascensions difficiles que ce soit en VTT, sur route,àpied…ou des descentes bien trop techniques.